L'ensemble Sollazzo conclut Laus Polyphoniae 2024 avec un son sans précédent pour l'époque médiévale et un puzzle sonore pour les auditeurs d'aujourd'hui.
01 septembre 2024/ Belgique / Antwerp
Un son scandaleux pour les gens du Moyen Âge et une énigme pour nos oreilles d'aujourd'hui : le motet polyphonique médiéval trompe tous les auditeurs depuis 700 ans. La musique virtuose brouille les pistes, les accumulations de textes cachent des symboles mystérieux et les mélodies s'extirpent de leur carcan grégorien. Le contrepoint passe également à la vitesse supérieure, la polyphonie vocale devenant un treillis intellectuel.
« Ars nova » est le nom du « nouvel art » qui a déclenché une véritable révolution musicale au XIVe siècle. Sollazzo Ensemble s'élève dans les plus hautes sphères célestes avec des œuvres diablement astucieuses comme Lunne pleine d'umilité et Apollinis eclipsatur/Zodiacum signis : des sommets d'une époque où les conventions compositionnelles devaient faire place à la liberté artistique, et où l'art du motet s'élevait en spirale jusqu'à un point culminant ambitieux.
« Ars nova » est le nom du « nouvel art » qui a déclenché une véritable révolution musicale au XIVe siècle. Sollazzo Ensemble s'élève dans les plus hautes sphères célestes avec des œuvres diablement astucieuses comme Lunne pleine d'umilité et Apollinis eclipsatur/Zodiacum signis : des sommets d'une époque où les conventions compositionnelles devaient faire place à la liberté artistique, et où l'art du motet s'élevait en spirale jusqu'à un point culminant ambitieux.
